L histoire d un voleur et d une quetes au butin precieus

On ne distingue ne serai ce qu un petit raiyon de soleil.Le ciel semble tres lourd pourtant on ne peux deceler un soupson de fleau.

Je me trouvait alors devant une elfe gracieuse portant une robe aux nombreus motifs bien detailler, une robe surement au pouvoir druidesque.
Elle me parlai d une voie assurer et triste en meme temps. J etais la pour l aider, je l ecoutais donc attentivement.

Elle me raconta l histoire d un de ces proche mais je ne pretais guerre attention. Seule la fortune m interessais, ce qui est normal dans mon metier. Mais laisser moi vous narer mon histoire ....

Je suis vetu d une grande cape noire, trainant sur le sol lorsque je suis debout. Une paire de gants quelque peu usee et tacher par le sang exprimant une experience au combat asser accentue. Mes botte quand a elle laisse une lueur verdatre s echaper pas la plante du talon. Je cour plus vite que quiconque. Mon armure est rayer de toutes pars laissant suposer des afrontements d animaux peu aimable. Muni d une dague et d une epee chaqu une brillantes. On peu remarque qu elles sont humide et agressif pour le nez.

Je suis un descendant d une tribut de troll de sombrelance. Une tribut portant une marque distinctif reperant ainsi les membre de la tribut des nezs jaunes. Un matin je me suis lever de mon tas de fumier et la .... Ce fut une vision d horreur.... Une petite personne, de sexe femelle, se dressait devant moi. Une masse ensanglanter dans sa main droite et une espece de boule dans la main gauche. Elle etait devant le corp gisant de quelque chose que je n avai jamais vu et qui pourtant, lui resemblait etrangement. Elle me devisageai d un regarde tendre et peu hostile.
-Qui etre vous? Lui demandai je.
-Un allie. Me repondit elle d une voie faible et effeminee.

Je regardait autours de moi, ils y avait des cadavres de trolls partout. Je reconu certains de la tribu voisinne mais plus graves encores : ma famille gisait la un peu plus loin. Je commancais a accourir naturellement losque la femelle me frapa sur la tete.........



(A suivre.....)

Je me reveilla avec sursaut. J etais seul. Dans un endroit qui m etai inconu. Je regardait autour de moi ne distinguant qu une table situer en face de sur quoi j etais, sur laquelle etai poser une multitude d etofes qui, certaines etaient bleu d autre rouge, sentaient commes des fruits... J entendis alors parler une langue dont les mots m etait inconu.

Je me leva donc, sentant sous mes pieds une douceur d un pelage, et un mal de tete atroce. En examinant de plus pres j en conclus a une peau de bete, mais ne pu determiner la provenance de cette douleur.

La porte grinca et une personne entra. Je la reconnu aussitot. Il s agisait de la femelle que j avai vu dans mon village. Elle me posa sa main sur la tete en marmonant une incantation plus qu etrange. Je me senti bien mieu des qu elle eu fini et retirer sa main.Je senti une chaleur m envahir, je remarqua meme plus que ma tete ne me fesai plus soufrir.

Elle me regarda avec attention et commenca a parler,

-Je me nome Mifilis, je suis une pretresse de la lumiere. Et toi, quel est ton nom?

Ne trouvant ni les mots ni le courage de lui repondre, je garda alors le silence.

-Bien je ne voudrai pas te choquer. Nous avons tout le temps neessaire devant nous.

Elle me tendit une assiette dans laquelle reposait de la viande. J etai plus que affamer mais n osant y toucher elle me regarda d un air qui me metais mal a l aise.Elle sourit et me dit :

-Tu peu manger je ne te veu pas de mal. Je t orai tuer sinon et d un seul doit.

Sans oser lui repondre, je resenti l envi de la fraper. Mon peuple ne suporte pas ce genre de remarque presque au bord de la provocation. Je me suis alors contenu et j ai manger.

C etai un met tres delicieus et fondant. Je me rassasiais comme tout bon troll qui se respecte, a en lecher l assiette.

-Il te faut encore dormir mon jeune troll, tu va avoir besoin de toute tes forces pour affronter ce qui t attend.

Je voulu alors prendre parole lorsque je sentit un someil profond m envahir. Mes yeux se fermaient sans meme que je pu luter et je m etala a ses pieds.




(A suivre..)

( Lhe Prehummmiai qhui fe une reummark sure l aurteauggrafe jeu l aiventre)

J etais assis au bord de l eau. Une trollette s avanca vers moi. Elle me pris la main et me tira vers l eau en me souriant.

-Que tu est muscler! Je peu? Me demanda t elle en posant sa main sur mon torse peu velu, je ferma les yeux.

Elle s adressa a moi d une voie tendre et.... Me frappa severement au visage.

J ouvris mes yeux et me retrouva nez a nez avec une femme que je connaissais que peu.

-Allon debout feneant !L heure n est plus aux songes!

Je me frotais les yeux energiquement et questiona alors:

- Mais ou est la trol.....

-Silence! Me cria t elle dessus. J ai a te parler! Arete de rever et leve toi.

Dessus, je me dressa alors devant elle. Elle m arivait a hauteur d epaules. Elle commenca alors a m expliquer le massacre de mon village et de ma famille sans aucune forme de reconfort et fut plus que brutal.L alliance, ce fut la premiere fois que j entendi ce mot. Mes yeux se mirent alors a delivrer des larmes abondantes. Elle se tu en me fixant dans les yeux que je recouvrais avec mes mains. Un long silence commenca alors.

Elle pris une chaise et s assit devant moi puis repris :

-Maintenan tu est seul. Tu peu aller ou bon te semble et devenir un vagabon comme il y en as des centaines dans nos terres souiller par l enemis ou alors... Tu vien avec moi.

Je reflechi alors un instant et je me mis a la devisager.

-Que ferons nous?

Elle se redressa brutalement et m atrapa une defense de toute sa poigne.

-Je ferai de toi un assassin au service de notre cose! Tu me servira le temps de ton aprentissage et tu me sera fidele! Tu ne me posera pas de question, tu m obeira sans mots et tu deviendra fort! Asser fort pour aller te venger de tes propres mains.

Je resta silencieus essayant de reprendre ma defense sans succes. Elle se tourna sur elle meme sans lacher prise, m obligeant a la suivre contre mon gres.

-Tu as trois jours pour me repondre, d ici la tu fait ce que tu veux mais rapele toi que les reprouver ne sont guerre sociable, alors reste dans ce foyer qui est mien. Je te nourirai tu aura de quoi dormir. Passer ce delai ton entrainement commencera ou alors je te chasserai!

Que pouvai je faire? Cette femelle m anonce la morts de ma tribu et me propose de me former. Quelle sont ses motivation? Dans quel but? Et surtout pourquoi s encombrerai t elle d un troll?

J essaya de ne plus y penser. Je mangeais mieu que dans mon village et en plus grande quantitee. Un jour s ecoula.... puis deux..... Je n avai pas revu cette femelle. Et le troisieme jour arriva.

J etai debout devant mon plat, lorsque la porte s ouvri avec fracas. La petite femelle se raprocha d un pas vive, me regarda et me dit :

-Alors tu as pris une decision?

En fait je n y avai meme pas reflechi.....Mais il falait lui donner une reponse et vite, elle n avai pas l aire comode.

-Ben... Je.. En fait je voulai savoir si...

-Oui ou non? Tes excuse ne m interesse pas.Je te nouris pendent trois jours et tu ne sais pas?

-Je n ai pas dit ca. N ayant pas d autre choix, ne sachant pas ou j etais la reponse me paraissai evidente.




-Ma reponse est ....Non !




(A suivre....)

Me regardant, d un air normal, elle fit un pas de cote laissat la place pour une personne de sortir sans difficultees. De sa main elle me fit signe de sortir.

Je me decidait donc a partir, n oubliant pas de prendre une ration qui restai sur la table. En la croisant sur le seil de la porte, elle me murmura :

-Bonne chance petit troll.

Ne se retournant pas apres ma sortie elle referma la porte doucement. Je me rendit compte que je n avai pas mi le nez dehors depuis mon arriver dans son gite. Un petit coup d oeil a droite, puis un a gauche, je choisi d aller tout droit. Un escalier descendait droit devant. Je l empreinta alors, pour me retrouver pres d un lac..... vert!
N osant y toucher ou gouter je passa alors sur un petit pont fait d une sctructure en ruine, en me demandant s il n allait pas ceder a mon passage. Il grinca d un bruit de pierres mais triompha de mon poid.

Je deboucha alor au pied d un edifice dont le plafond etait a plus d une quizaine de trolls empiller debout les uns sur les autres. Mon regard se perdi sur une multitude de choses, tel que une foulle de gents qui s empressaient de par et d autres des escaliers qui montaient par plusieur endroit different pour arrriver a un autre endroit mais etant commun aux deux un peu plus haut, ou encore sur un monstre vert qui ne s aretait pas une seconde au milieu du pilier, de donner et prendre des objet tous aussis defferents qu etranges.

Je ne savai pas au j etai n y ou se situait la sortie. J essaya donc d interoger quelques personnes mais ils ne repondirent pas et continuaient leurs chemins presque en m ecartant comme si j etai un obstacle. Je voyai de curieux personnages. Des sortes de vaches qui parlaient une langue qui etait mienne, portant des epees ou des batons et le plus troublant, des humain a la chaire usee, comme s il etaient en train de pourir. Je choisi une vache a interoger avec un air un peu plus persuasif.

J atrapa alors vache par le bras lui demandant :

- ou est sortie?

Elle me regarda et eclata de rire pui d un geste ota ma main de son bras. Mon bras valsa alors et failli aterir deriere mon dos. "Quel force!" pensai je ausitot.

Un etat de remord me pris d un coup, je repensais a ma famille qui n etait plus et me demandai ou allai je ainsi. Je m assi sur un petit bout de bois qui trainait par terre et me mi a penser "Je doit retrouver cette femelle".

Mais cette ville etait tres grande! Elle pouvait contenir au moin une centaine de villages comme le mien. Je tenta alors d interoger une autre personne au hazard. Je choisi un humain a la peau pourissante. J en choisi un plutot mal vetu :

-Hey vous la!

L humain a la peau pourissante se retourna alors, s aprocha de moi et parla d une voie si faible que j eu du mal a la comprendre :

-Oui que voulez vous?

-Je cherhe une femelle! Lui anoncais je naturellement.

-Il y en as partout.... Me repondit il.

-Elle habite ici et elle a une peau pas pourit. tentais je.

Il me tourna alors le dos et pointa du doit un autre humain a la peau pourissante et me dit :

-Il habite ici lui, il poura peu etre vous aider. Puis il disparu comme par enchantement ne laissant qu un nuage de fumer blancheatre.

Sans vouloir paraitre surpris je resta la pendent quelque instant. N ayant toujours pas compris je me dirigea vers le personnage indiquer et avant meme d etre derriere lui, il se retourna et me dit :

-Comment est elle vetu?

Plus que surpris je demanda comment il savait ce que je voulais lui demander. Il me repondit qu un voleur venai de lui parler. "Mais ou suis je arriver?". Cette question me tourmenta la tete, il me fallais trouver cette femelle et vite!

-Elle.. Elle portait un grande robe noire et avait la peau pas pouris!

-Oui c est Mifilis! Elle est la seul a detenir le secret pour sa peau. Me declarat il aussitot. Elle habite pres du quartier de la magie. Prenez par la et tourner a gauche puis......

J avais deja oublier le debut.

-Pouvez vous m emmener?

-Oui mais si elle ne vous attend pas, je me chargerai de vous, on ne derange pas la pretresse Mifilis pour rien!

Elle etait donc importante a ce point? Je me demandais si c etait bien ou pas. Mais je n avai pas vraiment d autre chois que de la retrouver, apres tout je ne connaissai personne d autre. Je suivi alors l humain a la peau pouris, aprehendant la reaction de Mifilis. Un mot de sa part et j aurai affaire avec cet humain.

Apres un cour chemin il frapa a une porte que je ne reconu pas. La porte s ouvrit et l interrieur lui m etait familier.

(A suivre....)

HRP: Si je savai ecrire sans fotes je serai presque fier de moi :'(****

OSEF !!!

Une personne vetu de cuir sortie alors de l habitat. Elle m etait inconu. Elle fit un bref signe a l humain a la peau pourit qui m escortait puis s eclipsa dans la penombre des lieux. La femelle sortie a son tour et sans m adresser le moindre regard declara a mon guide :

-Merci de me l avoir conduit ici. Je l atendait. Desirez vous vous restaurer maitre guerrier? Lui demanda elle souriante.

-Non merci ce sera pour une autre fois Dame Mifilis. Bon je ne m atarde pas mon temps est aussi precieus que le votre.

Puis il fit demi tour et reparti comme si de rien etait.

Je me retrouvai en tete a tete devan la pretresse. Un froid me parcouru le dos. Elle me fixa et se decida a prendre parole :

-Bien jeune troll si tu est la c est que tu as changer d avis. Je lui fit un signe de la tete mais n etan pas sur au fond de moi meme de bien le vouloir. Suis moi !

Nous entrame donc dans son gite. Elle se mit alors a prendre des morceaux de cuir un peu partout dans la piece puis me dit :

-Attend ici je vais voir une amie.

Peu de temps apres elle rentra une cuirasse et une petit pantalon a la main et me le tendit. 'Enfile ca' me declara t elle sechement. Je m executa alors avec difficulte, je ne metais jamais vetu d habit sur moi excepter mon cache sexe en feuille dans mon village. Elle ne me preta meme pas attetion et je fini par reussir. Elle s aprocha de moi et d un air tres serieu repris :

-Bien maitenan tu est a moi jusqu a ce que je te juge asser mature. Tu devra m ecouter, m obeir, et me servir sans poser de questions. Tu accepte?

Je baissais la tete en acceptant d un petit signe. Elle commenca alors une incantation et sorti un parchemin ou etait graver des simbole dont je ne comprennais la signification.

-Il me faut un peu de ton sang. Continua t elle en m entaillant le bras. Une goute tomba sur le bout de tissu.

J etais lier a elle desormais. Mais apres tout je deviendrais fort ainsi. Nous partime alors et le dialogue devenait de plus en plus inexistant. La plupar de ses signe etaient des ordres que j apris a interpreter. Nous somme tout d abord sortie de la ville par un chemin que je ne retrouverais jamais, elle passa dans une ecurie pour recuperer sa monture qu elle tenait par une ficelle. Et nous nous somme retrouver dans une grande plaine qu il etait impossible d en voir le bout. Elle me sortit un parchemin et me le donna. Des chauves sourits etaient representer dessus, l allonge de son bras me montrait un endroit eloigner mais inconu pour moi. Puis elle rebroussa chemin me laissant sur place tout seul comme un orphelin. Arriver a une centaine de pas elle posa un petit paquet par terre puis repartit sur son destrier. Je couru alors chercher le petit paquet et l ouvris avec hate. J y trouva une petit dague en cuivre avec un simbole "V" sur la garde et quelques rations. Un silex et deux petit carre de bois aussi etait la, enrouler dans un bout de chifon sur lequel etait desiner deux ou trois petit dessin je ne me souvient plus... Les dessins inlustraient une pierre et un feu. Je ne compris pas immediatement.

Je commenca alors a marcher vers une direction inconu.L enfer commenca alors, j echapa aux loups de justesse y laissant un bout de mon pantalon, me pris dans une toile d araigner, failli me noyer dans un lac pour echaper a des monstre hideux. Le crepuscule arriva a grand pas et je n avais pas encore reflechi ou dormir. J avais faim. J avais froid. J etais fatiguer. Je decida donc de faire une halte au pied d un arbre. Je sorti les ration et les magere rapidement et toutes. Voila par dessus mes ennui je n avais plus rien a manger. Je m endormi en pleurant comme un enfant.....


(A suivre....)

Un grognement me reveilla en pleine nuit. J ouvris les yeux et prenan ma dague constatai alors que la lune eclairait la plaine asser fortement pour y voir a une centaine de pas. Mais deux petites lumieres rouge etaient la devant moi fixe et immobile. Je compris qu il s agisait d un loup. Surement aussi affamer que moi, il me prendrai donc pour dejeuner. Je devais me batre et le tuer ou fuir, mais comment allai je my prendre pour le tuer car il courait surement plus vite que moi? Le loups lui le savait et me sauta sur une jambe. Hurlant de douleur, je saisi la dague et commenca a lui porter des coups rapidement dans le dos. Le sang se repanndi partout sur sa fourure blanche et sur mes main, le sentant s affaiblir, je continuais a le frapper, la rage de mes coups provenaient surement de ma douleur. Puis le calme revenu, le loup a mes pied, mort, il ne bougeait plus....

Je resta la sans oser faire un geste, puis je suis tomber sur le coter tenant ma jambe. J avai tres mal. Je regardi ma plaie sans la trouver tres grande, et lui exercant une pression je fit un garot, comme le fesais les ancien sorciers de ma tribut, avec le parchemin aux chaves souris. La douleur s accentua par la chute d adrennaline. De toute facon je ne pouvais rien faire de plus alors je monta dans l arbre pour tenter d y finir ma nuit. Mais en vain.

Je me rapelerais toute ma vie de se lever de soleil. Le ciel etait morne, mais on distinguai des reflets verts dans le ciel petit a petit. Je voyais tres clairement le loup en bas de l arbre qui n avait pas bouger. 'Il faut descendre maintenant' pensais je. Et tant bien que mal je pris le dessu sur ma douleur et me retrouva sur la terre ferme. Ce loup portait de la chair, et la chair ca ce mange. Comment faire sans feu? Le parchemin se retrouva ausitot dans mes mains. L examinant attentivement, je compris commen faire du feu, lorsque le soleil etait pile au dessu de ma tete. Il s agissait de frotter une brindille de bois a deux cogner les pierre. Je reussi a faire un feu, le soleil etait devant moi. Un feu reussi, j empala alors le loups sur une grande branche et je le possa sur le feu. Un agreable odeur s echapat et me chatouilla les narines.

Apres un copieus repas je repris la route de nuit. Apres un certain temps, il fesait froid. J eu alors une idee qui fu ma premiere bonne reaction: je fi demi tour pour retourner auprs de mon feu. Je decouvis une nuit paisible. Si ce n est que par ma douleur, je me souvenais etre en pleine nature. Je compris qu un feu eloigne les mauvaise rencontre, et dorenavent j en ferais un tout les soirs.

Apres plusieur jours, je savais tuer des loups pour me nourir, faire un feu sans tros que cela me prennet du temps. Ne m aprochant du village que j avais croiser, je retenais tout de meme sa direction. Je savais aussi m orienter. Et enfin, je l apercus au loin....

(A suivre.....)

Elle se tenait la devant moi a plusiers centaines de metres, je pu la reconnaitre asser facillement.

Elle erait, d un batement d aile gracieus, son sillage fendait l air soulevent les feuilles a chaque passages. Je constata qu elle etait demuni de tout poil. Un troll peu poilu, donc forcement jeune, represente un moindre danger comparer a un autre tres veulu, pensai je immediatement. Mon regard se porta alors sur le prolongement des ailles, constatant des petites mains dont chaque doigts se terminaient par des griffes qui, pour briller autant, devaient etre aiguiser. Cela m embetai un peu car forcement j avai deja une jambe blesser, il s agirait de pouvoir rentrer.

Il me falai trouver une strategie de combat. Je decidais donc la plus subtile, l afrontement direct de face. Je me raprocha d avantage pour etre a portee de course sans epuisement. Je me mis a charger pendant vingt metres et... Arriver a quelques metres je m areta net. La creature ne semblait pas reagir a la diminution de la distance qui nous separait. Elle continua a erer devant moi et me frola asser pour que mes poils de bras sente son sillage. Ma presence ne la derangeait guere. Un coup de dague bien placer dans la tete suffirai alors pour remplir a bien ma mission. Mais.... Comment pourai je tuer un etre vivant en traitrise sans en eprouver des remords? Il ne s agisait pas d une chasse car je devai la ramener et pas la manger. Une vision de mon village me traversa l esprit, je maprocha d elle et...

Elle pesait bien un demi troll adulte. Des petit crocs diriger vers l avan la rendait encore plus hideuse. Je du lui broiller les articulation pour me la metre sur le dos, tel une cape, ce qui failiterai mon voyage de retour. Le plus dur restait a venir, sacahan m orienter, je n avai pas la moindre idee de l endroit ou je me trouvai. Excepter le petit village apercu auparavant je n avai rien croiser d autre. Je pris alors la direction du village.

Le chemin du retour me parraissait bien plus cour. Des lumieres se demarquaient de l horizon deja envahit par le crepuscule, m onnoncerent que le village etait proche. Je ne senti qu un petit soulagement, ce n etait pas ma destination. Il me fallai repartir le lendemain a condition d etre accepter par le tavernier.

Sur le pas de la porte je l ouvri dans un grincement metalique. Une fois la porte refermer, je regardai autour de moi pour y constater une atmosphere bien etrange. Une personne au comptoir, que j identifia alors comme le tavernier, assit ne bougeait pas d un poil, une clef devant lui etait poser. Au fond de la taverne quelques bouches laissaient echapper des conversations qui resemblaient plus a celle tenu par des serpent qu humain digne de ce nom. A mon grand etonement, tout le monde avaient la tete recouvert par des bouts de tissu, des capuches ou encore des voile etoffes. Ne se retournant pas a mon arriver, je fit quelque pas en vers le comptoire et demandait une chambre. Il ne reagit meme pas de son corps, sa main lui suffi a me designer la clef en bronze orner d un petit os. Je m en saisi d un geste precis mais sa main se posa sur la mienne, et sans meme apercevoir le mouvement de ses levre, il me dit:

-Les animaux domestiques n ont place que dans la grange derriere mon etablissement.

Une fois dans la grange,je pris le soin de bien la recouvrir de foin avant de monter me reposer pour la nuit.

Le lendemain au petit matin, je descendit les escalier pour trouver toujours a son comptoire l aubergiste qui n avait pas bouger de la nuit, pensai je, car il etait exactement dans la meme position que la veille. J essaya d optenir une reponse clair quand a la direction de la capital, car je comprenait de moin en moin bien l expresion de ses mots. J en compris le sud. Je n avai pas encore passer le seil de la porte que ce dernier me dit tres clairement, a mon grand etonement:

-Ne vous inquietez pas pour votre chambre elle etait deja regler.

Saleter de cadavre, on ne se fait comprendre que quand cela vous interesse, marmonai je dans mes mains qui frottaient encore energiquement mes yeux pour me reveiller un peu plus. Je pris ma chauve souris et sorti de la grange. Je pris la direction du sud, ou je ne croisa rien exepter des sortes de ballon qui se deplacaient dans le ciel sans cesse. Ils fesaient tous une halte a cote d une grande tour qui s elevait dans le ciel. Des humain a la peau pourissante montaient la garde en bas de la tour. Je paasa mon chemin sans y preter le moindre interet. De loin j apersu une montagne, tros bien tailler pour etre naturel. En m aprochant je pu distinguer une immence porte precede d une aller aux arbres en piteus etats. Les porte donnait sur une coure interieur a laquelle son centre etait occuper par une sculture plus que moche. A mes yeux ce n etait que deux vieux bout de pierre poser la.

Je franchi la grande porte laisse ouvrete et n y reperant aucun garde, m engagea au milieu de la coure. Une monture marchait calmement dans cette derniere d un pas las. J etai sur' d avoir vu la masse qui y etait accrocher par le cote gauche. Brillante de tout ses eclats, mon regard restat pose sur elle.

-Tu est de retour. A tu accomplis ta tache? Cette voie m ota tout doute de ma tete, cette monture apartenait a la dame.

Sans me retourner je fit un signe affirmatif de la tete.

-Bien on va conduire l animal chez un amis qui sera m en tirer quelque chose. Suis moi je vais m occuper un peu de toi.

Cette voie si effeminer resonnait dans ma tete, j etai presque heureus de l entendre. Comme si c etait un semblant de retour a la maison, je ne savai pas encore que ce sentiment allait devenir entier et vraie au cour de mon aprentissage. Je me retourna pour contempler la femme. Cette fois elle etait vetu d une robe asser simple, rouge, ornee de motive broder en mithril. Elle sifla sa monture, qui accouru aussitot, et lui ota sa selle pour me la donner. Comme si je n etai pas asser use de mon periple...

On passa alors par des chemins tout aussi inconus que lors de mon dernier passage, passant par une etable pour y deposer la selle, pour arriver dans son gite que je reconnu bien sur. Mon regarde strutait deja la table pour y trouver des vivres. Il n y avait rien a manger, se qui me deprima evidament.

-Garde tes affaire nous repartons dans quelques instans.

-On va ou? J aimerai bien....

-Tait toi ! Son ton ne me donna pas envi de repondre d avantage.

Elle fouilla deriere deux ou trois potion et y sortie une petit bourse dont le bruit suposait de l argent. Elle sortie une pierre egalement qui brillait d un jaune puissant, un batonnet et une pochette de poudre. Puis sortie d une demarche pressee, je lui emboitait le pas.

Apres une petite periode de marche elle m aprit que nous etions dans le quartier des marchands pour y trouver un artisant du cuir. On passa une porte recouvert d une peau dontje ne serai dire quelle avait ete son porteur. Au milieu de cette piece, donc la decoration residuait dans l art du metier, se trouvait un troll de forte taille qui me regarda dabors d un air dedaigneus. Puis il se tourna vert la reprouver avec un sourir.

-Alors nous somme bien d acord o grande pretresse?

-Ne perdons pas de temps ! Lui replica t elle en lui lancant la bourse.

Il la ratrapa au vol sans aucunes difficultees et enchaina sont mouvement pouir portee celle ci dans sa poche qui semblait profonde. Il m aracha presque la chauve souris de mon dos qui de dechira au niveau des pattes. Il se retira a l ariere de l atelier. Je me retrouvi en tete a tete avec la reprouve. J esperai faire un peu plus connaissance.


(A suivre......)

Elle resta pourtant silencieuse, la devant moi. J essayer de l attirer du regard mais en vain, elle ne daigner me regarder.

-Vous ete pretresse? Tentai je.

-Je suis ton maitre cela suffit.

Ces mots me coupaient toutes envi de lui adresser la parole d avantage. Pourquoi etait elle si morne et hautaine? Je resta donc silencieus, quelques instants passerent. On entendait des bruits de chaire qui se dechiere, des lames qui, surement se planterent dans la table, resonaient dans un bruit limiter et discret.

La reprouve fesait tourner la pierre jaune sur elle meme, du bout de ses doigts d une habilitee quelque peu maladroite. Elle me jeta un regard de temps en temps accompagner d un visage neutre, voir stoique. Le troll resortit enfin en poussant le rideau d une main, tenant dans l autre une cape qui me parraissait d un beautee sublime. Il la tendi a la pretresse delicatement. Celle ci la prise et me la jeta presque au visage. Je la saisi avant qu elle ne tombe par terre et suivi le prolongement du doigt de la reprouve en direction de la sortie. Elle resta un instant en tete a tete avec le troll avant de sortir pour prendre la direction de sa taniere. Je la suivi donc comme un peon.

-Bien donne moi la cape. Me dit elle une foit arriver.

Je la lui tendi d un bras qui etait un peu plus muscles que lors de notre premiere rencontre me fit elle remarquer, mais je n y pretai pas attention. Elle incantat quelques mots incomprehensibles, tenant un baton d une main, le crstal poser sur la cape dont elle le recouvrait de sa poudre. La cape se mit a briller d un cycle interomput donc des reflet jaune etaient visible. Le cristal avait disparu sans que je comprene quelle magie etait a l ouevre. Elle termina son incantation puis se retourna vers moi.

-Tu sera un voleur. Elle me tendi la cape des ses petits bras.

-Comment ca? Lui repondi je en prenant cette derniere.

-Je t ai un peu etudier a traver ta premiere mission et j en ai descider ainsi. Tu devra donc aprendre d un maitre des voleur en plus de mes requetes. Tu ira voir un ami a moi quand je te le dirai, il t aprendra et t entrainera a maitriser l art des ombres. Met ta cape maintenant, un de mes disciple doit se faire reconnaitre.

Elle sortie alors un livre et me le tendi, ainsi qu un petit parchemin. Un de plus.

-Voici une carte et un livre, sert toi de la carte pour sortir de ces murs et du livre pour aprendre. Je ne veu plus te voir dans cette ville avant les prochaines lunes et cela a partir de maintenat. Part sur le champs! Termina t elle en me donnant un autre sac en peau de bete.

Elle sortie de la piece, me laissant seul devant une table remplis de vivre donc la tentation me parlait beaucoups. Je me saisi de quelques une avant de sortir du gite en ouvrant la carte. Je n avai toujours pas endosser la cape et la plongea dans le sac. Tros acuper a me reperer, je choisi donc un chemin qui me menai a la sortie. Du moin c est ce que je pensai. Je chercha lontemps a me reperer lorsque soudain, j entendi une voie que je reconnu aussitot. La pretresse etait la, a quelques pas devant moi. Elle ne devait pas me voir, sans quoi qui sais ce qu elle me ferait. Je parti donc en courant dans la direction opposer en percutant un inconnu qui immediatement se mit a proclamer des jurons. Mes jambes me porterent donc en un autre lieu de la ville que, une fois de plus, m etait inconu.

Le soir arrivait. Je le reconnu en passant les deux grandes portes de la ville, apres une journee pour en sortir. Les lunes etaient pleines ce qui me laissa penser aux noubreuses nuits qu il me faudrai attendre avant de rentrer. Ou aller? Qu allai je faire pendent ce long moment de solitude? De solitude? Apres tout elle ne ma pas donner de consignes sinon ne pas rentrer! Se faire des amis? Pas question, il ne doit pas y avoir que des amis par ici! Deja que les allies de la pretresse me meprissaient, que serai ce avec nos ennemis? Non je decidai donc de rester seul.

Je decida de prendre la meme direction que celle de ma precedente mission, autrement dit: le nord. Apres tout, je n avai qu a m entrainer d avantage a tuer des betes pour me nourir et perfectionner mon innitiation au combat.

Je fit une halte apres une grande distance parcouru, que mes jambes se firent un plaisir de me le rapeler, et decidai de m instaler pour la nuit. Je fit un feu comme j en avait deja fait, non sans mal mais asser rapidement. Je sortie une ration precieusement pris sur la table a l insu de la pretresse, et commenca a manger. Je ne voyai pas asser clair pour tenter de regarder le sac en question, apres tout je n avai que un mois pour le faire....

Je m endormi apres ce copieus repas et m endormi mon sac entre mes jambes. Le lendemain il me fallai occuper mon temps.....


(A suivre....)

Moi j'vai dire un mot ,un seul ,un mot qui veut dire beaucoup , un mot que je suis le seul dans cette guilde a dire ...

OUFTI !!!!

Heu.... En language humain ca veu dire quoi?? :p

Je me reveilla avec un envie profonde de profiter de tout ce temps de disponible pour m entrainer et aprendre des techniques de combat et de survies. Je pris mon sac, et etala son contenu devant moi. La cape luisait toujours d un jaune par interuption, il me falai l endosser a present. Je fi un noeud avec les deux petites ficelles tresses et constata que.... Je ne voyai rien. Je la mis sur mon dos et remarqua que c etai bien plus pratique. Une sensation m avahi aussitot. Mes geste etaient plus precis, je ne tremblai plus d un poil. Elle devait avoir des pouvoir et cela m enchantai. Je decouvri egalement une autre dague plus rafiner et ses motifs sur sa garde representai un dragonnet avec une precision que seul un artisant pouvait detenir. Sa lame etait humide et degageait une aura malefique d un noir incomparable, elle me fesait presque peur, mais apres tout si la reprouve me l avait donner ce n etait surement pas pour la regarder. Quelques livres dont les dessins etaient plus complexes que les premiers que j avai lu lors de la precedente mission. N y pretant pas d interets imediat, je les replongere dans le sac.

Je combati des monstres, animaux, et autre creatures qui se promenaient dans la region et les jours passerent sans incidents majeurs. Seul de la bobologie m iritai mais je les negligeais au profit de mes experiences qui se multipliaient. La dague devenait le prolongement de mon bras, la maitrisant de jours en jours un peu mieu, elle etait mertriere et le sang la souilla a maintes reprises chaques jours qui semblaient etre des mois....

Un jours, lors des demis lunes, elle se mit a briller et maintenant elle etait rouge vif. Je n avai pas remarquer le changement qui pourtant avait ete progressif. Ce meme jour, alors que je portai le coup fatal au coeur d un loup, une fumee s echapa de son manche. Elle me tourna autour plusieure fois, me frolant les jambes. Un vent se leva et la fumee se materialisa a meme l endroit ou gisait la depouille du loup. Je reconu la creature, c etait celle representer sur la garde de mon arme.

Il me regardait droit dans les yeux, laissant echaper des grincement de dents. Je lui rendi ce regard. Il se rua sur moi et me cracha au visage une substance verte. Je repliqua d un coup de dague qui lui transperca une aille. Il continua a voler. Pris de panique, je pris mes jambes au coup et commenca a courir. Il ne pris meme pas la peine de me suivre: la dague me stopa net, et comme tire par mon arme, et me raprocha de la creature qui a present ouvrait sa guelle laissant suposer une deuxieme secretation que j allai prendre au visage. Au lieu de quoi, une boule de feu me frapa au ventre. Tomban a genou et posan ma main sur ma douleur, je cherchai a frotter une blessure que je ne pouvai voir. Le dragonet chargea encore, me visant au bras qui se terminait par ma dague. Je lui saisi une aille avec mon autre main et lui planta la lame dans la tete et...

Ouille, le sang jailli et coulait sur mon torse et mes jambes. Hurlant je sortie la dague qui c etait enfoncer de la moitier dans mon epaule. Un voile rouge replaca ma vision, et je bougai plus vite perdant le controle de mes pensees, je ne reflechissai plus. Une fureur saiguinaire m envahi, poussant un hurlement de guerre, je fit un bond sur la creature et, maintenant sa guelle fermer d une main, je l assailli de plusieures coups de lame et meme de tete. Je n avai plus mal, oubliant le lieu, le momen, la facon, je laissai parler ma rage, mon desir meurtrier. Mon sang bouillai a present je pouvai presque le sentir circuler.

Je retrouva la raion pour y trouver que des morceaux de dragonnet, qui s etaient repandu un peu partout autour de moi, et bien sur une douleur plus qu intence. Tombant sur les genoux, je pensai a la pretresse. Tout etait si confut dans ma tete. Que devai je faire?

Je devai penser ses blessure avec des vieux chifons de ma bessace. Ce qui se fit apres une courte periode necessaire a la reflextion des mes premiers soins. Regardant autour de moi je ne voyai plus le dragonet. Il avait purement disparut! Me levant pour chercher ses reste, ma main s agrandit comme si l objet qu elle tenait grossissait. C etait le cas mais pas comme je le pensait. Une autre dague s etait ajouter a ma poigne. Une deuxieme dague identique a la premiere mais, elle, portait les meme simboles graver a l envert, comme si elle etait le reflet d un miroire. De couleur verte, elle etait tout comme ma lame d origine. Le vent cessa. Un filet d ombre reliait les gardes des deux arme jumelles et complementaires. J en conclu de mon inteligence si profonde que la premiere devait liberer sa jumelle au prix d enemis vaincus.

Mes blessures se pansaient doucement, et mes proies tombaient rapidement avec ces deux jouers que je possedai. A certain combat, je cru voir des ilusions de dragonet apparaitrent entre elle, comme si elle communiquaient. Mon gibier avait l aire d en souvrir et mourait sans que je porte de coups specialement forts ou fatals. Peu etre, ou surement, je detenai une tresor unis de liens depassant mon imagination.

Un beau matin, c est a dire un jour ou il ne plevait pas, je jugea les lunes pleines et me resolu a retourner a la rencontre de ma mentor. Comment allait elle reagir a mon egard? J avai progresser et pouvai combatre des creature bien plus puissante qu a mes debuts. Peu etre un peu de repos m attendait. J eprovai une certaine solitude a l aquelle je m attachai progressivement. Malgres ce sentiment, je voulai quand meme avoir des raports affectifs, une presence serai peu etre une bonne chose pour moi, apres tout vivre un mois sans avoir a qui parler, ca en laisse des chose a conter,si toute fois je savai encore parler.....

(A suivre.....)

J apercevai deja la ville et une sensation qui m etait guerre etrangere me parcourai de toute part. La sensation de victoire, la soif de repos car j etai quand meme bien usee par ce mois en nature et en solitaire.

A hauteur des deux grande portes dominantes, je n apercevi pas la reprouvee au milieu de la cour. Elle ne savait peu etre pas a quelle moment j ariverai car les pleine lunes duraient presque deux jours. Je devai cette fois la retrouver dans cette fourmilliaire geante. Je me lanca alors dedans rempli de bonnes volontees.

Apres avoir demander mon chemin, de tros nombreuse fois pour les compter, j arriva devant son gite. La porte etait bien sur fermer et je m arreta a quelques pas de cette derniere. Je pouvai deja humer la nouriture de sa table.

-C est moi! Di je d une voie bien pretencieuse en frapant a la porte.

Elle s ouvrit sous l action de ma main et une odeur m alecha les sens asser developer de mon nez jaune. Je me risqua a passer la tete pour y trouver la salle vide de reprouvee et pleine de vivres. Il vaudrai mieu demander pardon qu un permission....

-Tu devrai gouter le ragout de raptor Virtuose.

Je me releva, redressant la petite chaise, et fini par ramasser l os que j avai pris le soin de rogner.

-Vous m avez fait peur!

-Tu n as qu a etre un peu plus prudent et alerte. Ce n est pas parsque tu est chez moi que tu y est en securite! Tien d ailleur.

Me fixant de ces deux yeux, un pressentiment me figea sur place, mes deux mains se raprochaient deja de mes dagues, mes pied s ecarterent l un de l autres. Je vi juste mais l experience me manqua encore une fois. Un gobelin entra par la porte en courant et se rua sur moi me martelant de coups de poings, de coups de baton qui s enchainaient sur des trais de glace me detruisant sans me laiser le temps de repondre... Ma tete ne voyait pas claire, mes armes coupaient le vent, je tomba a genou pour sentir un coups sur ma tete qui me fit cracher du sang par le nez et la bouche, mes yeux voyait la pretresse qui souriait pour finir par.... Le noire total. C etait bon. Je comprenai pas cette punition, ou cette epreuve qui me fit perdre tout le peu d honneur dont je fu en mesure de lui porter ce jour la. J entendi un hurlement de terreur mais etait ce reel ou existait il que dans mon immagination? Puis le silence, le calme.

Je me reveilla dans le lit present dans la piece. Des pansement de la tete au pied, couvrant des douleurs infames. La pretresse etait la egalement.

-Ha tu est reveiller! Bien leve toi et mange.

Me frottant la tete avec mes main, je la regardai avec un air menacant.

-Pourquoi? Et n ete vous pas pretresse? Soigner moi j ai mal s il vous plais.

-Non tu aprendra a guerrir, des mission bien plus longues et dangereuses t attendent et je ne serai pas derriere toi pour te couvrir! Tu doit etre fort et cette lecon t aprendra a rester sur tes gardes!

Quelle cruotee incarnait cette femelle? Je n en croyai pas mes oreilles. Mais je suivi son conseil de manger, cette maisson etait magique: la table se remplissait qu importe ce que je mange. Je verifia alors mes bandages, changeant certain d eux. Puis jetant un oeil a la pretresse je lui di:

-J ai combatu et triompher d un dragonet qui se cachait dans votre dague! Maintenant j en ai deux! Ajoutai je fierement.

-C est bien et alors?

Bon puisque il n est pas possible d avoir des raport bestiaux avec cette femelle si arogante je decida de manger les quelques restes de la table en grognant.

-Que doi je faire maintenant?

-Tu va voyager. Tu ira chez les orcs a durotar. Plus precisement dans Orgrimar leur capitale. Tu devra y trouver un certain Shenthul. C est un maitre des voleur qui t aprendra l art des ombres. Tu est desormais pret a prendre ses conseils et peu etre des missions. Tu partira demain je t acorde une nuit de repos et je suis bien tros genereuse. Trouve le, ecoute le et aprend c est tres important. Revien me voir lorsque tu aura fini.

-Comment pourai je le trouver et ou doi je aller? Et je pourai pas me reposer un peu?

-Prend le zepelin et tu sera deja en ce pays apres tu as une bouche, je vais pas t y emmener non plus! Et file d ici je ne veux pas te voir jusqu a ce soir, tu as qu a aller a la taverne il y as de l alcool la bas! Ajoutat elle en me lancant une bourse bien petite mais suffisante pour m enivrer.

Je sortie de son gite bien rassasier et pris la direction de la taverne, ou presque. Je me deplacai de mieu en mieu dans cette ville, et j arriva a la taverne pour boire plus que de raison.... Mas je vous epargne les details.....

(A suivre.....)

La pretresse me reveilla d un argument tres frapant. J ouvri les yeux avec peine, ils etaient bien coller. Un troupeau de kodos devait courir d un sens et d autre de ma tete. Qu etait ce cette sensation jusque la inconus?

-J ai mal a ma tete. Pleurenichai je a la pretresse, j etai encore un jeune troll apres tout.

-Ben c est les lendemain d alcool idiot. Et leve toi tu part dans une heure.

Partir... Deja...

Je me leva et m assi a table commencant a manger gloutonement. Un sac m attendait deja devant la porte, je fi semblant de pas le voir.

-Combien de temps cela va t il durer?

-Je ne sais pas, seul le temps te le dira. Et qui sais peu etre ne te reverai je que dans une douzaine d annes.

-Quoi???

Elle me lanca un regard depourvu de compasion avant de me montrer du bout des doitgs la porte. Ne cherchan pas a comprendre, et sachant la discution impossible, atrapant et en trainant le sac derriere moi, je senti que cette fois il etait tres pesant. Je sorti et me retourna quand meme pour jeter un dernier regard sur cette hute et la surprise de voir la pretresse sur le pas de la porte me figea sur place. Elle me fixa droit dans les yeux.

-Bonne chance et revien victorieus ou ne reviend pas. Je prefererai que tu revienne, si tel est le cas je te gratifirais! Me lancat elle d une voie douce avec un sourire que je n oublirai jamais.

Je me hata de lui tourner le dos afin qu elle ne puisse deceler mon sentiment. Une larme coula enchainant les autres. Malgres ma haine, elle etait comme ma mere. Elle tenait une grande prestance et du charme a en faire fondre jusqu a un murloc. Mais elle etait dur avec moi et je devai la hair plutot que m attacher a elle. Je sechai donc mes larme et me mi en route pour la sortie de la ville.

Une foie de plus je passa les deux grandes portes de cette capitale et fonca directement sur le nord sans marquer ma traditionnel pose de reflextion. Je devai trouver la grande tour a zepelins. Ce qui ce fit sans mal car les distance etaient plus courtes de fait de les connaitres. Deux reprouves montaient la garde devant un escalier en colimacon pour atteidre deux plates forme opposer. Me hatant de demander laquelle menait a la ville dominante des orcs, le gobelin peu aimable m orienta vers la bonne.

J attendi une bonne grosse heure pour appercevoir un ballon geant a l horizon qui se raprochait d une des plate forme. C etait le mien. Deux humanoides sauterent directement sans passer par a tour pour s ecraser en bas. A ma grande surprise, il ne moururent pas et des jets de lumiere emanaient de leurs mains, les retablisant, puis ils se remirent en route en direction de la ville des reprouves. Il me fallai a present monter sur le zepelin, qui ne me metait pas du tout en confiance. Evidament, qui confirait sa vie a une invention gobeline? Il me falai le faire. Je me descidai donc a monter.

Je m appuya sur une rembarde pour me relever grognant sur la marche. Ca tanguait un peu, mais c etait relativement stable pour un truc valant. En bas de la tour, une creature, courrant a une vitesse que je n avai jamais vu, entrat dans la tour pour sauter sur le zepelin quelque instant apres. Commen quelqu un pouvait il aller aussi vite? Il etait sombre et sous sa capuche, je ne distinguai que deux yeux qui brillaient d un rouge vif. Puis il disparu laissant qu une trainer de fumer sur place. N y pretant plus attention, je descendi au centre de l appareil pour y trouver deux chaises, un lit et un balcon avec une vue arriere qui coupait toutes envies de sauter par la. En effet une helice tournait a quelques metres de ce dernier. Je pris place sur une chaise posant mon sac sur l autre. Je mi ma tete entre mes bras pour roupiller quelques moments. Le voyage ne sera pas instantane.

En me tirant de ce petit repos, je voulu prendre mon sac mais... Il n etait plus la. Cherchant dans la piece il etait introuvable. Me ruant sur le pont, un paysage s ouvrit a moi laissant paraitre un decort que je connaissai deja. Cela me rapelai la conte de mon village. Mais je n y etai pas. Soudain, quelque chose me herta dans le dos me plaquant sur des cordages, je reconnu mon sac sur le dos de l individu qui courait vite. Il partait a la meme vitesse qu il etait venu mais avec mon sac.

-HEY!! ARRETE TOI VOLEUR!!

Oui forcement il ne l a pas fait. Courant apres, il me distancait deja me laissant aucune chance de recuperer mon bien. Je descendi les marches, passa devant les deux orcs qui , eux aussi montaient la garde, et couru a traver la plaine. Il disparut deriere un orc qui semblait monter la garde. L observant, un deuxieme se raprocha de lui, puis un troisieme. C etait une patrouille orc. Il parlait d une langue que je comprenai bien: ma langue maternel. Il m aprirent qu il gardait Orgrimar et que la releve etait sur le point d arriver car ils etaient bien fatiguer d avoir repouser une attaque porte par l enemis...
Orgrimar???

Oui elle se tenait la devant moi. En courant apres le voleur, je n avai meme pas vue se qui etait le centre de la region et qui se voyait jusqu a plusieurs lieux d ici. Une forteresse demesurer comme je n en aurai meme pas pu rever tellement cela impressionnait. La cite des orcs s etendait devant moi je n avai plus qu a y penetrer.

(A suivre...)

Ca sentait l orcs a plein nez, pas d erreurs possible c etait bien ici. La releve arriva, une petite dizaine d orcs sortirent de la ville et alla relayer leurs confreres. Je me glissa jusqu a eux sans qu il me porte le moindre interet. J arriva sur une coure, dont on pouvait y loger plusieur fois mon village, de ce que je m en souvenait cela remontait a bien loint maintenant, s offrait a moi ou des dizaine de personnes ce ruaient de par et d autre. Meme la capitale des reprouvers ne comportait pas autant d individus. C etait comme un gigantesque rassemblement de la horde, mais c etat comme ca tout les jours de l annee.

Commen pouvai je esperer trouver un troll dans toute cette foule? Et je ne voyai que la coure principale. J etai deja tres inquiet. Je constata que tout le monde etait bien mieu equiper, que ce soit sur leurs armures ou leurs armes, ce qui me forcai a rester d avantage sur mes gardes. Je me doutai que retrouver mon sac dans ses condition serai impossible et le point etait vite regler. Mon inventaire se limitait a ce que je portai sur moi c est a dire mes deux dagues, ma cape et mon vieux calecon en feuilles seche, je ne pouvai avoir d argent en poches car.... Je n avai pas de poches.

-Shenthul, Shenthul, Shenthul... Bon un troll ca doit ce trouver facilem...

En m aprochant il y avait des dizaine de troll un peu partout. Ca se chamboulait deja dans ma tete, trouver une sortie requierait toute ma concentration mais la, ce n etait plus de mon resort. Pourquoi ne pas interoger un garde apres tout il pourait peu etre me renseigner. C est ce que je fit. Un orc tenant une grande hache d une seule main, avec aisance, m indica alors le chemin. Il devait se trouver pres de la herse a cote de la valee de l honneur. Shenthul, la herse... Ca se melangeait de plus en plus. Une trollette passa devant moi et je l interpela.

-Excusez moi femelle je cherche un maitre de classe.

-*Rire* Vous n ete pas tres sage mais soit: cherchez par la vous trouverez votre boneur.

Puis elle s en alla. Sage, Shenthul, valee de la herse, salle d honneur. Je me retrouva, sous les lune devant un troll en robe qui s apelait Zayus, dans la vallee de la sagesse pres de la herse... Il rigola longtemp, quel sens de l humour ce troll, avant d apeller un reprouver egalement en robe.

-Mene se petit commique dans la herse et montre lui la tente de Shenthul!

Le reprouver ne dit rien sinon aquiesa d un signe de la tete puis me fit une tappe sur le bras en prenant le chemin par ou je venai. Apres quelques centaines de metre, nous entrame dans un endroit sombre ou il fesait froid et humide. Les tenebres devaient habiter pas loint. Le reprouver montait un petite cote puis s arreta et du bout du doit me montra une tente. D un pas determiner je m avanca mais ce dernier ma retenu de la force d un seul bras en charpis d un diametre de mon poigner.

-Il est tard, il doit dormir et je ne pense qu il soit tres content de vous recevoir a cette heure ci. Attendez demain. Apres... ce n est qu un petit conseil.

Un rictus de sourir deforma sa machoire en piteuse etat, il tourna les talons et repartit sans ajouter un mot. "Bien, bon ben, heu... Alors je suis un vagabon je dors ou je suis." Ses pensees ne me genai guere mais il fesai si froid ici. M enroulant du mieu que possible, je m endormi dans ma cape qui n offrait pas grande chaleur.